Après Iguazu et les villages andins, nous sommes de retour à Buenos Aires pour la troisième et dernière fois. Noémie nous conduit d’abord à Palermo Viejo. Ce quartier chic est surnommé le “Palermo Hollywood”. C’est un quartier résidentiel, dynamique et branché. Les premières vitrines rencontrées portent la marque de couturiers connus. On peut même parcourir un “circuit du design”.
Noémie nous a expliqué que les anciennes maisons, étroites et profondes, avaient été transformées en magasins du dernier chic.
Et elle nous fait pénétrer dans plusieurs d’entre eux : vêtements, chaussures, vitrines de créateurs.
Certains magasins ont opté pour une décoration exotique, par exemple cette magnifique boutique de vêtements de style chinois.
Et nous avons la surprise de trouver une boulangerie où l’on fabrique du pain français.
C’est le moment que choisit Noémie pour nous faire goûter à la spécialité locale : les alfajores, petits gâteaux fourrés à la confiture de lait.
Nombre de touristes s’attardent aux terrasses des cafés.
Un dernier dîner au restaurant Evita et, le lendemain matin, un dernier regard sur les jacarandas du mausolée du général Belgrano, le vainqueur de la bataille de Salta en 1813, à l’époque de la révolte contre la domination espagnole.
Avant de quitter l’Argentine, il nous reste une excursion en bateau dans la région du Tigre, non loin de la capitale. Pour s’y rendre, nous traversons un quartier où de belles villas sont nichées dans la verdure.
On s’arrête au sommet d’une colline d’où l’on a une vue plongeante sur les parcs et jardins où fleurissent les agapanthes.
Nous voici près du port d’où nous embarquerons.
Des bateaux chargent et déchargent des marchandises tandis que nous faisons un tour sur le “marché de frutos”. On peut y admirer le travail de l’osier…
…du bois, le marché aux fruits…
…et des objets de la vie courante comme les célèbres tasses à maté.
C’est l’heure d’embarquer. Le bateau nous emmène sur la “Venise de Buenos Aires”. Nous naviguons à travers les îles du rio de la Plata.
Des embarcations de toutes sortes circulent sur les nombreux bras du delta. Et on y pratique toutes sortes de sports d’eau.
Les habitants des îles sont ravitaillés par un bateau qui livre tout le nécessaire et peuvent emprunter la navette pour rejoindre leur maison.
Beaucoup ont aménagé un ponton devant leur habitation pour y amarrer leur barque.
Nous apercevons des maisons très variées : certaines nous laisseraient croire que nous sommes au Pays Basque.
C’est une vie tranquille et silencieuse, mais peu pratique et coûteuse. C’est peut-être la raison pour laquelle beaucoup de ces maisons sont à vendre.
Il fait déjà chaud et nous apercevons le restaurant “Gato Blanco” où nous prendrons notre dernier repas.
On nous sert une belle truite. Une de nos compagnes de voyage préfère un steak argentin. Elle ne sera pas déçue : son steak dépasse les 500 grammes et a plutôt l’allure d’un joli petit rôti. Les Argentins sont gros mangeurs de viande, c’est bien connu !
Mais les meilleures choses ont une fin. Le moment du retour approche. L’avion nous emmène vers Sao Paulo puis Roissy.
Et là-haut, dans le ciel, les étoiles de l’hémisphère sud clignotent pour saluer notre départ de ce pays magnifique qu’est l’Argentine !
À table ! >>>>
À découvrir >>>> Aras, lamas, toucans et compagnie…
revoir |
Ravie et enchantée d’avoir parcouru cette immensité grâce à vous : MERCI .
Je ne peux malheureusement pas lire tous vos commentaires, mes yeux ne suivent plus !!!!!!!!